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Les normes casque ski et autres sports outdoor

A chaque sport ses spécificités et ses risques de chute ou d’accident. Voilà pourquoi les instances sportives associées aux fabricants ont édictés des normes spécifiques pour chaque élément de protection. Si d’un point de vue international les normes répondent au standard ISO chaque continent a mis en place ses propres normes plus ou moins restrictives. Dans l’Union Européenne c’est l’organisme AFNOR qui s’occupe de tester et de valider tous les équipements de protection mis en vente sur le marché.

Il en va ainsi de la norme CEN (Comité Européen de Normalisation) qui édicte des normes strictes pour chaque élément de protection individuelle (EPI).

L’un des éléments de protection incontournable, le casque, n’échappe pas à la règle et doit être homologué CE EN pour être vendu en Europe.

Ski alpin, snowboard, ski de randonnée, parapente, équitation, vélo de route, vtt, escalade, alpinisme, on vous dit tout sur les normes des casques de sports homologués pour chaque pratique.

Comment bien choisir son casque en fonction de son sport ?

Bien évidemment chaque sport outdoor expose à des incidents différents. Ainsi en ski alpin on peut tomber par terre en tapant avec la tête la neige voire la glace mais aussi un rocher ou un obstacle quelconque. En escalade, les risques sont différents et le casque doit avant tout résister à une chute de pierre venue du haut. En parapente c’est davantage le retour brutal au sol lors des phases de décollage et d’atterrissage qu’il faut prévenir.

Il est donc crucial de bien choisir son casque en fonction de l’activité pratiquée pour avoir un maximum de protection en cas de besoin.

Un casque efficace est un casque à la bonne taille adapté à son tour de tête !

Pour que le casque joue pleinement son rôle, il faut bien évidemment qu’il soit ajusté à la forme et à la taille de la tête. Voilà pourquoi il est très important de choisir un casque à la bonne taille qui corresponde à son tour de tête. De plus en plus, les casques de sport proposés sur le marché sont pourvus d’une molette de réglage à l’arrière qui permet d’obtenir l’ajustement idéal.

Autre point important : il faut que le casque soit bien verrouillé au niveau de la jugulaire. Car un casque mal serré peut vite glisser sur l’arrière et ne plus rien protéger en cas de chute. N’hésitez donc pas à régler la jugulaire pour que le casque reste bien en place.

La norme européenne pour le casque de ski alpin : la norme EN 1077

La norme de casque de ski, de snowboard et de surf des neiges EN 1077 se décline en fait en deux sous normes :

EN 1077 A : les oreilles sont protégées par la coque du casque

EN 1077 B : sur un casque de ski de classe B les oreilles sont protégées par une partie amovible qui peut se retirer pour profiter d’une meilleure audition, d’une meilleure sensation de vitesse et d’une plus grande légèreté. La plupart des casques de ski désormais vendus sur le marché sont normés EN 1077 B.

norme casque de ski alpin

Globalement la norme EN 1077 (classe A ou classe B) doit répondre à deux critères principaux : une bonne protection de la tête en cas de choc à 20 km/h. A cette vitesse là, le casque doit résister à au moins deux impacts consécutifs sans éclater et la tête du sportif ne doit pas subir une accélération de plus de 250 fois la gravité terrestre soit 250 G. Au delà, les lésions cérébrales sont considérées comme irréversibles. Le casque de ski et de snowboard doit donc non seulement être solide lors du choc mais doit être capable de dissiper l’énergie cinétique de l’impact. Voilà pourquoi de nombreuses marques rivalisent d’innovation avec des technologies phares comme le MIPS pour diminuer au maximum les effets cinétiques au niveau du cerveau.

De plus la norme EN1077 doit offrir une certaine résistance à la pénétration en cas de choc avec un rocher, un tronc d’arbre, une branche ou encore un bâton de ski. Un tel casque doit empêcher l’obstacle de traverser la coque et de toucher le crâne pour une vitesse donnée de 10 km/h.

Et pour le ski de compétition : la norme FIS ?

Si pour certaines catégories juniors et certaines disciplines comme le slalom les casques EN 1077 classe B sont tolérés il n’en va pas de même pour le Super G, le slalom Géant et la descente ainsi que pour toutes les compétitions adultes où le casque doit répondre à la norme EN 1077 mais aussi à la norme de compétition FIS RH2013 pour une protection encore renforcée. Un casque FIS RH2013 doit entre autre résister à la pénétration à une vitesse d’impact de 21 km/h contre 10 km/h pour un casque de ski grand public.

La norme casque alpinisme 12492 qui couvre également l’escalade :

En escalade et en alpinisme les chocs viennent la quasi majorité du temps du haut. Il s’agit souvent d’un bloc de pierre ou de glace qui tombe de la paroi. Les casques d’alpinismes et les casques d’escalades offrent donc une protection maximale zénithale. La norme EN 12492 assure une protection efficace du crane pour une pierre de 5kg tombant de 2 mètres. Les casques EN 12492 offre également une bonne ventilation pour éviter la surchauffe en été.

La norme des casques de ski de randonnée :

En ski de randonnée le casque peut répondre soit la norme 1077 du casque de ski alpin classique soit à la norme d’escalade et alpinisme EN-12492. Cependant la norme 1077 enveloppant les oreilles et limitant les aérations pour répondre aux contraintes de pénétration est souvent délaissée au profit de la norme de casque de montagne bien plus léger et plus aéré. Dans le détail la norme EN-12492 garantit une bonne protection pour une chute de pierre verticale de 2 mètres et de 5 kg. Le casque de ski de randonnée EN-12492 protège également d’un impact latéral oblique de 60° de 5Kg tombant de 0,5m ainsi que d’une chute de pierre pointue de 3 kg de 1 mètre de haut. La norme EN-12492 protège donc très bien des chocs venus du haut mais trouve vite ses limites avec des chocs périphériques.

Pour remédier à ce point faible, la marque PETZL a repris la norme EN-12492 et a développé sa propre certification Protection TOP and SIDE pour offrir une protection efficace en cas de choc frontal, latéral et arrière en ski de randonnée. (Résister à une chute de pierre de 5kg tombant de 50 cm). La certification PETZL est donc pour l’instant la plus exigeante en terme de norme de casque ski de de randonnée.

casque ski de randonnée

Casque ski alpinisme double norme aussi appelé casque bi-norme

Les casques double norme ski alpinisme possèdent tout simplement la double homologation CE EN 1077 et EN-12492. C’est le cas par exemple des casques Scott Couloir 2, du casque Camp Speed 2, Camp Amour, Salomon MTN Lab ou encore du casque Uvex P 8000. Ces casques offrent ainsi un maximum de protection aussi bien pour les chocs venant du haut que pour les chutes au sol et contre la pénétration d’objets contendants. En contre partie ces casque de ski alpinisme bi-norme sont moins aérés et plus lourds qu’un simple casque homologué uniquement pour l’alpinisme.

Casque triple norme

Certaines marques vont encore plus loin avec des casques triple normes qui couvrent les activités de ski alpin, d’alpinisme et même de vélo et le VTT en ajoutant une homologation CE EN 1078 qui couvre au passage les activités de roller et de skateboard. Ces casques enveloppent généreusement la tête et protègent des chutes en tout genre.

Au final quel casque de ski choisir, comment doit il être ?

Du moment que votre caque de ski ou de snowboard est homologué EN 1077 vous pouvez choisir le modèle que vous voulez pour monter en station. Casque simple, avec ou sans protection oreille, avec ou sans visière vous serez sûr d’être bien protégé en cas de chute ou de collision. Si par contre vous comptez faire principalement du ski de randonnée il vaut mieux partir sur un modèle plus léger et plus aéré répondant aux normes de l’alpinisme ou à la double norme ski alpinisme. Le plus important étant de choisir un casque à la bonne taille qui restera bien en place le moment venu.

Pourquoi le casque de ski n’est pas obligatoire en ski ?

A l’origine le ski était avant tout un moment de liberté et de plaisir en pratiquant un sport de plein air qu’on pouvait faire en pantalon et en robe. Autant dire que l’idée de porter un casque de ski était bien loin. Depuis, les sports d’hiver et le ski alpin se sont largement démocratisés et le nombre de pratiquant à littéralement explosé. Les collisions et les accidents en tous genres sont devenus de plus en plus nombreux. Voilà pourquoi désormais toutes les écoles de ski rendent obligatoire le port d’un casque de ski sur les pistes. Le casque de ski vous protège d ‘une chute bien évidemment mais aussi et surtout d’une éventuelle collision avec un autre skieur (25% des blessures à la tête en 2019 étaient dues à une collision)

Le casque de parapente et la norme CE EN 966 :

Obligatoire en école, en tant que passager biplace et en compétition, le casque de parapente aussi appelé casque de vol libre doit posséder la certification EN 966. En fait plus précisément il doit posséder la norme CE EN 966+A1 mis en place en janvier 2013 et qui remplace la norme de base CE EN 966 historique.

Cette norme couvre la pratique du parapente, du deltaplane ainsi que de l’ULM. Un casque de parapente doit avant tout dissiper un maximum d’énergie en cas de choc. Pour homologué un tel casque les fabricants laisse tomber une tête factice d’une hauteur de 1,5 m et mesure l’accélération subie par le cerveau. Cette accélération ne doit pas dépasser 250 G soit 250 fois la gravité terrestre sous peine de lésions irréversibles. Les tests se déroulent sur différentes surfaces (sol plat, sol pointu, sol rond) pour simuler les différents cas de figure possibles. En parapente le risque étant surtout de heurter le sol lors du décollage ou lors de l’atterrissage.

norme casque parapente

La norme EN 1078 : le bon choix pour un casque de vélo de route et de VTT

En Europe la norme en vigueur pour tout ce qui est vélo sur route, vtt, roller et skateboard est la norme EN 1078+A1(2013). Cette norme porte une attention particulière au champ de vision, à la capacité du casque à absorber l’énergie du choc en cas de chute ainsi que l’efficacité de l’attache jugulaire pour un bon maintien du casque de vélo. La norme EN 1078 couvre également les utilisateurs de vélo à assistance électrique ne dépassant pas les 25 km/h.

Pour les speed bike électriques dépassant les 25 km/h un casque de vélo EN 1078 ne suffit plus et il faut s’orienter vers un véritable casque de cyclomoteur normé ECE 22.06 depuis le 1er juillet 2022.

Outre Atlantique, les spécialistes du vélo de descente ont mis en place des normes spécifiques pour les sports les plus engagés. Ainsi pour la pratique du DownHill les casques de vélo de descente doivent répondre à norme ASTM F1952 -15 qui protège mieux le visage et des chocs périphériques. Le BMX a également vu arriver la norme ASTML F2032-15 pour une protection optimale lors des courses.

 

Quelle est la norme en vigueur pour un casque de cross équitation ?

Jusqu’en 2014 la norme pour un casque d’équitation ou une bombe était la norme EN 1384. Cette norme a été retirée pour finalement être remplacée par la nouvelle norme CE VG1 01.040 2014-12 d’inspiration britannique.

Les avantages de la nouvelle norme de casque d’équitation sont les suivants :

  • Une meilleure rigidité latérale de la bombe
  • Une calotte intérieure plus généreuse
  • Une visière moins longue pour éviter les blessures au visage en cas de casse de la visière lors de la chute
  • Des points de fixation plus serrés pou un maintien du casque bien plus efficace
  • Le retrait de la mentonnière qui pouvait provoquer une fracture de la mandibule en cas d’impact

 

Qu’en est il de la norme des casques pour le parachutisme ?

En parachutisme il y a en fait deux cas de figure. Soit vous êtes totalement autonome et vous possédez le BPA (Brevet de Parachutisme Autonome) et dans ce cas vous pouvez sauter avec n’importe quel casque voire même sans. Soit vous êtes débutant et dans ce cas là il faut respecter les directives de la FFP (Fédération Française de Parachutisme). La directive DT 39 imposait à partir de 2017 la norme CE EN 966 qui correspond aux sports aériens. Malheureusement tous les casques répondant à cette norme n’étaient pas forcément des plus adaptés à la chute libre. Depuis la nouvelle directive DT 51 a vu le jour est imposera à partir de 2024 la nouvelle norme AFNOR XPS 72-600.

Cette nouvelle norme pour casque de parachutisme XPS 72-600 prend en compte les points singuliers suivants :

  • Les suspentes ne doivent pas pouvoir s’accrocher au casque
  • Aucune arête tranchante ne doit pouvoir couper les suspentes
  • Le casque doit résister à un choc face à un poids de 10kg lâché à 25cm
  • Le casque doit résister à une chute de 1,5m soit à un impact à une vitesse de 5,4m/s
  • Les sangles de serrage ne doivent pas se déformer exagérément en cas de traction
  • On doit pouvoir se libérer du casque facilement avec une seule main lorsque celui ci est tracté avec une force de 50 kg. (Par exemple en cas d’accrochage dans un arbre par le casque)
  • Les matériaux des casques de parachutisme doivent rester stables sur une plage de température de -20 à +50°C , et doivent résister à l’épreuve de vieillissement artificiel aux UV.

Putter Odyssey Golf : le club qui fait la différence sur le green !

Tout joueur de golf sait que quand on arrive sur le green, c’est le putter qui peut faire la différence. Le putter de golf est d’ailleurs peut être le club de golf le plus personnel du sac, club qu’on aura choisi après de nombreux essais parmi les plus grandes marques de golf. Un bon putter, dans lequel on a confiance et qu’on connait parfaitement peut alors faire la différence dans la phase finale du jeu. Et parmi les marques de golf incontournables il y a bien évidemment l’incontournable série de putter Odyssey Golf !  

Quels sont les avantages des putters Odyssey Golf ? 

Avec de 40 modèles de putters différents proposés dans son catalogue, Odyssey Golf permet à chaque joueur de golf de trouver le putter idéal adapté à son style et même à ses éventuelles habitudes de frappe voire à ses petits défauts.  

type putter odyssey
Putter Odyssey mailler / Putter Odyssey Blade

Pour cela Odyssey Golf rivalise d’ingéniosité pour proposer des putters haut de gamme à la pointe de l’innovation. On aura ainsi le choix entre des putters Odyssey Golf blade et des putters maillet. La première option offre une précision redoutable à qui maîtrise parfaitement son club alors que les versions maillet arrivent à gommer les petits effets parasites du mouvement pour un résultat très efficace. Mais ce n’est pas tout car dans la gamme putter Odyssey on peut également équilibrer son club avec précision.  

Comment équilibrer son putter Odyssey Golf ? 

Pour savoir quel équilibrage choisir il faut avant tout savoir quelles sont les habitudes et les trajectoires de balle lors du putting. Si vous faites rouler la balle en ligne droite l’équilibrage Face-Balanced sera idéal alors que si vous la faites rouler en arc de cercle sur le green il vous faudra plutôt opter pour un équilibrage Toe-Balanced.  

Comment choisir l’offset de son putter Odyssey ? 

Cette option d’offset est présente uniquement sur certains modèles de la marque mais cet offset peut s’avérer très intéressant si vous avez besoin de corriger quelques défauts. Vous pourrez ainsi opter pour un putter Odyssey avec offset si votre balle part régulièrement sur la droite alors que si elle part sur la gauche il ne vous faudra pas d’offset sur votre putter Odyssey Golf.  

Putter Odyssey Golf et longueur de shaft. 

Si la longueur du shaft de votre putter dépend avant tout de votre taille, vous pouvez également tenir compte des vos appuis et de votre façon de réaliser le mouvement de balancier lors de la frappe. Les joueurs classiques opteront pour une longueur de shaft adaptée sans se poser de question alors que les joueurs “plus tendance” pourront gagner en stabilité en optant pour un modèle de shaft Odyssey Golf Belly, qui autorise un appui au niveau du nombril. 

Dernière option possible : avec ou sans insert ? 

Et oui, certains putters Odyssey Golf disposent de plaques métalliques qu’on place sur la face du club. Suivant le matériau utilisé (plus ou moins léger) la balle partira plus ou moins fort et de façon plus ou moins sèche. Si vous êtes un joueur puissant mieux vaut miser sur un insert léger voire pas d’insert du tout afin de ne pas surdoser la frappe. Par contre si vous avez besoin de dynamiser vos coups n’hésitez pas à opter pour un insert lourd afin de gagner en vitesse de balle. 

Bref en faisant le choix d’un putter Odyssey Golf, vous êtes certains de vous faire plaisir sur le green à chaque partie. Il ne vous reste plus qu’à choisir le modèle qui vous permettra d’améliorer votre score lors du prochain parcours ! 

 

Skis roue IDT : une marque norvégienne incontournable

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Considérée comme la version estivale du ski nordique, le ski roue est notamment pratiqué par les skieurs qui souhaitent conserver les bénéfices de leur entraînement même lorsque la neige est absente. Ainsi, on voit de plus en plus souvent des athlètes chausser des skis roue classiques ou des skis roue skating pour partir à l’assaut des cols les plus hauts.

À l’instar du ski nordique, le ski roue est un excellent moyen de travailler le cardio puisque vous pourrez également vous attaquer à de grosses montées. Les accros de glisse y trouveront donc leur compte, car ils retrouveront les mêmes sensations qu’en hiver. Le skating ou le classique sont le meilleur compromis pour prolonger la saison de ski !

Le ski roue est aussi une discipline sportive à part entière qui, comme le ski nordique, se décline selon plusieurs techniques. On distingue ainsi le ski roue classique du skating. Le skating correspond au pas de patineur et se rapproche fortement du skating que l’on pratique l’hiver. Le ski roue classique est un peu moins proche de sa version hiver, pour simuler la retenue, les roues sont bloquantes en marche arrière. On retrouve bien le mouvement mais sans devoir plaquer le ski au centre.

Le matériel diffère lui aussi en fonction de la technique pratiquée. En version classique, les rollerskis sont dotés de roues larges anti-recul qu’il s’agit de bien maîtriser notamment dans les changements de directions ! Les rollerskis de skating peuvent rouler dans les deux sens et nécessitent un effort physique constant.

Dans cet article, nous avons choisi de faire le focus sur une marque qui sort nettement son épingle du jeu : les skis roues IDT.

IDT : une marque de référence

IDT Sports est une marque norvégienne née dans les années 2000. En quelques années les experts d’IDT ont su s’imposer dans le monde du nordique en proposant des produits uniques sur le marché.

L’objectif initial de la marque ? Proposer des skis à roulettes dont les sensations se rapprocheront au plus près du ski hivernal. Pour ce faire, la marque met en synergie l’expertise d’un ingénieur et d’un athlète de haut niveau et donne alors naissance à une gamme révolutionnaire de ski roues. En 2012, IDT invite Marit Bjørgen à rejoindre son équipe d’expert pour développer une solution de ski roues brevetée, le Dynagrip.

Progressivement, IDT se fait un nom en lançant des partenariats avec les équipes de ski de fond de Norvège, de Suède, de Russie et d’Italie. La marque propose également à ses équipes nationales des skis à roulettes adaptées à toutes les pratiques : combiné, ski de fond et biathlon. Elle parraine aussi des athlètes comme Hosflot Klaebo et Frida Karlsson.

Focus sur les modèles de ski roues IDT

Contrairement aux autres marques de ski roue et de skating, IDT propose des poutres de différentes longueurs. Vous pouvez donc choisir vos modèles en fonction de votre niveau. Chez IDT, vous trouverez aussi des roues plus ou moins lentes pour varier les plaisirs et les sensations : RM1, RM2 et RM3.

Skate Elite RM3
Ski roue Skate Elite RM3

Dans la catégorie RM3, nous ne pouvons que vous conseiller de tester le modèle Skate Élite. Comme son nom l’indique, ce ski roue est réservé aux skieurs de haut niveau qui souhaitent s’entraîner été comme hiver. Doté d’une longueur de poutre de 710mm, le ski roue Élite procurera des sensations de glisse très similaires à celle ressenties en ski hivernal. La longueur de poutre de ce modèle ne laisse en effet aucune place à la facilité, chaque mouvement doit être au maximum dégagé sur le côté. Point fort du modèle Skate Élite RM3 : des roues en caoutchouc lentes et ultras adhérentes, de quoi intensifier l’effort physique et perfectionner la technique tout au long de l’été. En imitant au plus près le skating, le modèle Élite peut également se targuer d’un temps d’adaptation réduit qui séduira les athlètes soucieux de retrouver rapidement leurs sensations de glisse.

Toujours dans la catégorie RM3, l’équipe vous recommande le modèle Ski Roue Skate. Moins technique à aborder que le modèle Élite, le Skate est un compromis idéal pour les skieurs moins avertis qui cherchent à limiter la sensation de vitesse tout en profitant d’un bon exercice physique. Les roues de type RM3 favorisent une vitesse de glisse lente tandis que la poutre de 600mm facilite la prise en main technique. Le modèle Skate est tout à fait abordable pour les skieurs qui souhaitent simplement découvrir la pratique du skating.

Skate Elite RM2
Ski roue Skate Elite RM2

Pour un confort de roulage à toute épreuve, nous vous recommandons le modèle RM2 Ski Roue IDT Skate. Grâce à des roues en caoutchouc synthétique souple, ces skis roues offrent un confort de glisse très appréciable et une vitesse de déplacement très proche du ski hivernal. Le modèle IDT Skate RM2 est un excellent compromis de glisse et de technique à destination des skieurs occasionnels ou réguliers. Le Skate RM2 se maîtrise en effet assez rapidement et ne nécessite pas une grande condition physique.

Nous avons également un coup de cœur pour la version féminine du modèle Skate Ingvild en catégorie RM2. IDT a développé ce modèle spécialement pour l’athlète norvégienne Ingvilg Flugstad Østberg, on raffole donc à la fois de ses performances techniques et de son design original qui fait référence à la fondeuse. Moins lents que le modèle Élite, le Skate Ingvild est un grand classique de l’entraînement estival sur ski roue : poutre de 600 mm, roues RM2 et aluminium monobloc à fourches intégrées, le tout pour une adhérence parfaite au sol, une vitesse équivalente à celle du ski classique et une glisse homogène.

Ski roue skate Klaebo edition RM2
Ski roue skate Klaebo edition RM2

Pour finir en beauté, on ne peut que conseiller de tester le modèle Skate version Klaebo. Ces skis roues de type RM2 bénéficient en effet de la toute dernière amélioration développée en synergie avec Johannes Høsflot Klaebo. Les roues sont désormais composées de polyuréthane pour augmenter l’adhérence et le confort de roulage du skieur. Le modèle Klaebo est également doté de jantes en aluminium pour une résistance optimale qui vous offre une excellente tenue de route. Un modèle techniquement irréprochable et haut de gamme qui facilitera incontestablement l’entraînement estival !

Les lunettes Cairn : technicité et confort

Cairn est désormais une marque leader de la protection pour les sports d’hiver et pour toutes les autres pratiques sportives outdoor. Elle développe progressivement des accessoires comme des lunettes de soleil, des gants de vélo ou encore des dorsales de protection. Quelle que soit la variété de produits que Cairn propose à sa clientèle, la marque continue à tenir ses promesses : expertise, performance et technicité sont clairement ses crédos.

Depuis le début des années 2000, Cairn propose une large gamme d’accessoires de sport : lunettes de soleil, masques et casques de ski.

Vous avez envie de découvrir les atouts des lunettes de soleil de la marque lyonnaise ? Suivez le guide !

L’alliance de la technologie et du confort

Dans sa gamme outdoor, Cairn propose une collection de lunettes de soleil tout-terrain. Montagne, vélo, hike and run, parapente, sports nautiques ou même lifestyle : toutes les pratiques sont représentées avec les lunettes Cairn.

La spécificité de la marque ? La haute technicité de ses accessoires ! Depuis sa création, Cairn développe en effet seulement des produits dont la performance a été largement éprouvée par ses experts.

Pour créer ses lunettes de soleil, Cairn se repose sur le savoir-faire de ses équipes de développeurs, mais aussi sur l’expertise des professionnels du marché de la lunette outdoor. En choisissant des lunettes Cairn, vous optez donc incontestablement pour des accessoires innovants, fiables et robustes.

La qualité des lunettes Cairn se traduit en deux points clés : la technicité et le confort.

La marque lyonnaise décline bien sûr ses lunettes en 4 catégories de protection à choisir en fonction de votre pratique. Aussi, la catégorie 0, malgré que le verre soit totalement transparent, reste idéale pour protéger les yeux de la poussière et des débris lorsque vous pratiquez le VTT par exemple. Cairn propose également des lunettes de catégorie 1 parfaitement adaptées aux temps nuageux. Point fort de la marque : ses lunettes polyvalentes de catégorie 3 que vous pourrez porter par beau temps aussi bien en ville qu’en montagne. Côté technicité, on atteint bien sûr le summum de l’expertise Cairn avec les lunettes de catégorie 4 qui vous accompagneront en haute montagne.

Cairn a également choisi de développer des lunettes photochromiques. Cette technologie permet d’adapter la luminosité de vos verres à l’intensité des UV. En montagne, c’est le compromis parfait lorsque le temps est changeant ! Les lunettes photochromiques de la marque se déclinent de la catégorie 1 à 3. Chez Glisshop, nous avons sélectionné pour vous le modèle photochromique Downhill. Une fois que vous aurez pris goût à cette technologie ultra innovante, vous n’arriverez plus à revenir en arrière !

Cairn peut également se targuer de deux atouts supplémentaires : des verres polarisés ainsi que des filtres qui s’adaptent à toutes les pratiques sportives. Quelle que soit votre activité, vous profitez donc d’une vision optimale. La polarisation des verres Cairn atténue l’éblouissement par temps ensoleillé et traduit parfaitement les reliefs : une combinaison de technologies idéale pour pratiquer le VTT ou le trail !

Gros point fort de la marque lyonnaise : sa capacité à adapter ses technologies à la pratique sportive. Il ne vous reste donc plus qu’à sélectionner votre sport de prédilection au moment de faire votre choix sur la boutique en ligne de Glisshop. Vous êtes sûr d’y trouver une paire de lunettes parfaitement adaptée aux contraintes de votre discipline !

Un design qui s’adapte à tous les styles

On apprécie Cairn pour sa capacité à développer des lunettes hautement technologiques qui restent belles et stylées. La marque lyonnaise sait en effet parfaitement allier design et technologie, elle propose des lunettes tendances désignées pour les sportifs, pour les non sportifs, pour les femmes, pour les hommes et pour les enfants.

Cairn propose plusieurs gammes de lunettes de soleil. Aussi, vous trouverez sur leur catalogue des lunettes dont le style s’oriente plutôt vers les sports extrêmes : monture couvrante, enveloppante et flexible, mais aussi grip de maintien sur chaque branche pour un confort optimal.

La gamme féminine a un côté plus fun et s’oriente davantage vers un usage quotidien. Chez Glisshop, on raffole notamment du modèle Hype, de ses branches aspect bois et de sa monture blanche et transparente. Si ce type de modèle a en effet un aspect plus décontracté et lifestyle, les lunettes Cairn demeurent parfaitement adaptées aux sorties de plein air.

Cairn Hype
Modèle de solaire Hype

La collection féminine est idéale pour les visages fins, mais la marque propose bien sûr des lunettes mixtes dont le style et les performances techniques se destinent aussi bien aux femmes qu’aux hommes.

Cairn Fakir
Modèle de solaire Fakir

Les hommes trouveront eux-aussi leur bonheur en optant pour un modèle Cairn. La marque lyonnaise innove en effet chaque année pour créer des designs variés et toujours plus tendance. Vous trouverez donc des lunettes de soleil au look agressif et sportif à l’instar du modèle Fakir, mais aussi des styles plus urbains comme le modèle Josh.

Josh
Modèle de solaire Josh

Cairn a bien entendu développé des protections solaires pour les plus jeunes en créant une collection Junior. Là encore, la marque innove en développant des lunettes alliant idéalement style et technicité. Les variétés de couleurs du modèle Foolish plairont aux filles comme aux garçons, tout en les protégeant de manière optimale durant les sorties en plein air.

Foolish Cairn
Modèle de solaire Foolish

Cairn a bien sûr pensé aux plus petits en développant Pitchoon, un modèle de lunettes destiné aux enfants de 0 à 2 ans.

Pitchoon
Modèle de solaire Pitchoon

En bref, Cairn créé des modèles de lunettes de soleil adaptées à toute la famille, à toutes les pratiques sportives et à tous les styles. Il ne vous reste donc plus qu’à trouver votre bonheur sur notre boutique en ligne !

Cairn est une entreprise familiale qui a vu le jour en 1938 à Lyon. L’histoire de cette famille éprise de grand air et d’aventures débute dans des ateliers situés à la Croix-Rousse. Le fondateur, Albert Baudet, fabrique alors des gants et des vêtements chauds destinés aux sports de montagne.

C’est à partir des années 1990 que l’entreprise d’Albert Baudet se tourne vers la confection d’équipements de haute montagne entièrement dédiés à la protection et à la sécurité des sportifs. Cette décennie marque la naissance d’une entreprise qui se repose uniquement sur un développement permanent de ses produits pour toujours vous offrir le meilleur.

Comment choisir des chaussettes de ski ?

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Que ce soit pour pratiquer le snowboard, le ski de randonnée ou le ski alpin, il est important d’être bien chaussé et bien sûr de porter des chaussettes adaptées ! Les chaussettes de ski sont véritablement indispensables pour garder les pieds au chaud et au sec tout au long de la journée sur les pistes.

À l’instar des gants, les chaussettes de ski sont en effet des accessoires incontournables aux sports d’hiver car elles permettent de conserver la chaleur même lorsque les températures sont glaciales.

Chaussettes de ski
La Chaussettes de France « Winter Your Life »

Une grande variété de chaussettes de ski existe. C’est pourquoi, il est important de les choisir en prenant en compte vos besoins et leurs caractéristiques. Vous trouverez différents types de matériaux, des coutures plus ou moins importantes, des tissus plus ou moins épais ou encore des modèles ergonomiques et plus ou moins techniques. En somme, un vaste panel s’offre à vous !

On vous guide pour que vos pieds restent au chaud tout au long de vos journées de ski.

Bien choisir la matière des chaussettes de ski

Les chaussettes de ski doivent avant tout vous tenir chaud. Lorsque vous pratiquez le ski dans des conditions froides, votre corps priorise l’irrigation de vos organes vitaux. Ainsi, les mains et les pieds sont souvent bien plus froids que le reste du corps ! C’est pourquoi il est primordial de ne pas négliger le choix des chaussettes de ski et de leurs matières.

Vous trouverez des chaussettes de ski dont la conception est plus ou moins technique. Les chaussettes dédiées à la pratique du ski sont divisées en deux catégories : les matières synthétiques et les matières naturelles.

Les matières synthétiques peuvent se targuer d’une excellente performance thermique. Élastomère, élasthanne, acrylique ou encore biocéramique ont ainsi largement prouvé leur efficacité au fil des années. Ces matières synthétiques ont l’avantage d’être particulièrement souples et élastiques pour offrir au skieur un confort de mouvement idéal. Les chaussettes de ski en matières synthétiques sont parfaites pour supporter de basses températures, car elles assurent une isolation thermique optimale.

chaussettes de ski Volcom
Chaussettes de ski Synth Volcom

Aujourd’hui, la plupart des fabricants privilégient un mélange de matériaux qui rend la chaussette de ski encore plus performante. C’est le cas de la marque Volcom qui combine de l’acrylique, de l’élasthanne, du polyamide et de la laine. La performance thermique de la chaussette Monnet est également le fruit d’un savant mélange de matériaux : polyester, polyamide, élasthanne, laine, polypropylène et argent.

ski Monnet
Chaussettes de ski Medium Monnet

Les fibres naturelles sont largement reconnues pour leur capacité à protéger la peau du froid. Aussi, les chaussettes de ski sont généralement confectionnées à partir de laine ou de soie. La laine est une fibre chaude, respirante et absorbante. Si vous portez des chaussettes en coton et que vos pieds sont mouillés, il y a un très gros risque de voir vos orteils glacer avant la fin de la journée. Si cependant vous portez des chaussettes de ski en laine, la fibre absorbe l’humidité et garde vos pieds au sec et au chaud.

Monnet Wool
Monnet Wool

Les plus frileux peuvent opter pour le mélange idéal de soie et de laine, connu pour procurer un confort thermique optimal. C’est le cas avec le modèle Elbrouz conçu par La Chaussette de France. Il contient 63% de laine et 21% de soie. Vous apprécierez également la douceur et le confort du modèle Wool produit par Monnet avec 49% de laine mérinos et 6% de soie.

Choisir des chaussettes de ski respirantes

Lorsque nous pratiquons une activité sportive, nous transpirons et ce même dans la neige ! Une chaussette de ski doit donc tenir chaud, mais également permettre à la peau de respirer et d’évacuer correctement le surplus d’humidité. Si vos chaussettes doivent être correctement ajustées sur vos pieds, elles doivent aussi laisser l’air circuler, notamment au niveau de la voûte plantaire.

Pour que vos pieds restent au chaud malgré la sueur, évitez le coton qui conserve l’humidité et proscrivez les doubles couches qui empêchent l’air de circuler. Les fibres naturelles sont idéales pour permettre au pied d’évacuer la transpiration et l’humidité. Privilégiez donc des matières comme la laine et la soie, chaudes et respirantes à la fois. La laine a par ailleurs des propriétés antibactériennes appréciables lorsque vous avez beaucoup transpiré au cours de votre journée de ski. Là encore, n’hésitez pas à adopter la marque Monnet et ses modèles de chaussettes de ski en laine et soie.

Choisir des chaussettes confortables et performantes

En plus d’isoler les pieds du froid et de l’humidité, des chaussettes de ski doivent rester confortables tout au long de la journée.

Pour ce faire, veillez d’abord à adapter le choix de votre paire de chaussettes à l’activité que vous pratiquez. Par exemple, on ne choisira pas le même type de chaussettes pour une pratique occasionnelle que pour une pratique régulière.

Choisissez bien entendu la bonne taille de chaussette : au fil de la journée, vos chaussettes de ski ne doivent pas comprimer votre pied, ni glisser sur vos mollets. Monnet compte parmi les marques qui proposent des modèles taille par taille pour un ajustement optimal du pied. La hauteur est également un point important : vos chaussettes de ski doivent légèrement dépasser de vos chaussures pour éviter les frictions et les blessures.

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Sidas Protective Gel

Le confort d’une chaussette de ski est aussi fonction de son ergonomie et de sa performance technique. Des marques comme Sidas proposent notamment des paires de chaussettes de ski conçues pour amortir les chocs. Nous avons sélectionné le modèle Sidas Protective Gel qui intègre une protection en gel Silitène pour prévenir les douleurs au niveau des tibias. Ce type de chaussettes comporte également des renforts situés à chaque point de pression du pied. Elles enveloppent parfaitement le pied pour une tenue optimale.

La Chaussette de France
La Chaussette de France : modèle Bio céramique

La marque Chaussette de France propose des chaussettes de ski hautement techniques. Les modèles Bio Céramique permettent de conserver une bonne stabilité de posture, une bonne oxygénation musculaire, une bonne circulation sanguine et une aération optimale ! En bref, vous choisirez la Chaussette de France pour ses qualités et ses capacités à vous aider à récupérer au mieux après une session éprouvante.

Les détecteurs de victimes d’avalanche Ortovox

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L’histoire de la marque Ortovox est étroitement liée à la recherche de victimes d’avalanche. On doit à ses 2 fondateurs, Gerald Kampel et Jürgen Wegner, d’avoir mis au point en 1980 le premier DVA capable d’émettre et de recevoir sur 2 fréquences différentes. Cette spécificité le rendait alors unique, seul compatible avec tous les autres appareils de l’époque. Accueilli avec le plus grand enthousiasme par les professionnels de la montagne, l’Ortovox F2 a ainsi fait la réputation de la marque qui depuis ne sait jamais démentie. Toujours à la pointe en matière d’innovation, Ortovox crée aujourd’hui la surprise avec les le Diract et le Diract Voice, ce dernier étant le premier DVA au monde à navigation vocale, une fonctionnalité jusqu’ici inédite. Ces 2 appareils viennent compléter la longue liste des détecteurs de victimes d’avalanche Ortovox développés au cours de ces 4 dernières décennies. Parmi eux, le Zoom+ qui, loin d’être obsolète, est probablement l’un des appareils les plus fiables du marché actuel. Si vous avez envie de vous faire une idée précise sur chacun de ces DVA, suivez-nous, vous êtes au bon endroit !

L’extraordinaire simplicité du DVA Zoom+

DVA zoom+Parce que le temps est un élément crucial pour réussir le sauvetage d’un skieur ou d’un snowboarder enseveli sous la neige, Ortovox a développé le Zoom+ dans l’optique que chacun soit opérationnel en à peine quelques secondes. Muni de seulement 2 interrupteurs, l’un pour l’allumer et l’éteindre, l’autre servant à basculer du mode émission au mode réception, ce DVA permet de se mettre immédiatement à la recherche de la victime. Les indications affichées sur l’écran rétro-éclairé sont concises et explicites, renforcées par les bips sonores, précieux indices de votre proximité de plus en plus immédiate avec la victime prise au piège par l’avalanche. Tout est pensé pour que son utilisation soit la plus intuitive possible, le boîtier étant d’ailleurs suffisamment compact pour tenir dans une main une fois sorti de l’étui.

D’un point de vue technique, le Zoom+ est conçu avec 3 antennes et présente une portée maximale et une largeur de bande de recherche de 40 m. Comme l’ARVA Neo Pro, il bénéficie de la technologie Smart-Antenne, il émet à partir de l’antenne la mieux orientée par rapport à la position de la personne enfouie sous la neige. Il est également muni d’un réflecteur Recco, système qu’un grand nombre de secouristes en montagne utilisent aussi.

Autre particularité du DVA Ortovox Zoom+, c’est sa capacité à basculer automatiquement en mode émission s’il n’a détecté aucun mouvement pendant 2 minutes. Cette fonctionnalité est la garantie que votre position soit signalée si vous êtes à votre tour victime d’ensevelissement dans le cas d’une seconde avalanche.

Les détecteurs Ortovox Diract et Diract Voice

le DVA Ortovox DiractRemarquables d’efficacité, les DVA Diract et Diract Voice sont les derniers nés de chez Ortovox. Comme le Zoom+, ils sont équipés de 3 antennes avec une largeur de bande de recherche supérieure de 50 m. Ils bénéficient aussi de la technologie Smart Antenne qui, en fonction de la position de la victime dans l’avalanche, permet d’optimiser l’émission du signal. Ortovox précise que dans certaines conditions, cela permet de doubler la portée de ses appareils.

Le Diract et le Diract Voice sont alimentés par une batterie, beaucoup moins sensible aux basses températures que les piles qui servent habituellement au fonctionnement de la plupart des autres DVA. Conçus avec un boîtier compact qui tient dans la main, ils disposent d’un écran large sur lequel s’affichent très clairement les indications de direction qu’il suffit de suivre. Accessible depuis le haut du boîtier, l’interrupteur de couleur orange permet de passer ultra rapidement du mode émission au mode réception. Il se manipule aisément sans avoir besoin d’enlever vos gants de ski ou vos moufles.

Les 2 DVA Diract sont en mode Auto-Test permanent. Il s’assure en continu de leur bon fonctionnement. Ils ont aussi la fonction Contrôle de Groupe. Elle permet de vérifier avant de partir que le DVA de chacun des membres de son groupe est opérationnel. La fonction Multi-Victimes permet de concentrer ses recherches sur une personne à la fois, en filtrant les différents signaux. Le Marquage Multi-Victimes permet d’enregistrer la position de chaque personne localisée sous la neige. Enfin, le mode Standby permet d’éviter les interférences entre les DVA des sauveteurs en train de porter secours à une personne prisonnière de l’avalanche et le DVA utilisé pour localiser une autre victime.

Diract Voice, le seul DVA à guidage vocal

détecteur de victime d'avalanche Ortovox Diract VoiceA l’heure actuelle, la particularité du Diract Voice, c’est d’être le seul DVA au monde à instructions vocales, comme un GPS de voiture. Ortovox prend ici une certaine avance sur ses concurrents. Ainsi, alors que le stress est à son paroxysme du fait de la soudaineté de l’avalanche et de l’ensevelissement d’une ou de plusieurs personnes, le système de navigation vocale se conjugue aux indications affichées à l’écran. L’information visuelle complétée par l’instruction vocale permet de concentrer toute son attention sur la recherche en ayant la certitude d’agir comme il le faut. Le but d’Ortovox est de faire diminuer la panique pour que la ou les victimes soi(en)t retrouvée(s) le plus rapidement possible.

On ne le dira jamais assez : être équipé d’un DVA, d’une sonde et d’une pelle est indispensable dès lors qu’on pratique la montagne en dehors des domaines skiables aménagés. Le hors-piste, en freeride, en freestyle backcountry, en ski de rando ou en splitboard, exige ce matériel qui peut vous sauver la vie. A cette liste des équipements de sécurité montagne, on peut rajouter un sac à dos airbag avalanche qui, comme dans le milieu automobile, n’est ni une fantaisie ni un gadget.

DVA Mammut Barryvox et Barryvox S

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On les connaît sous le nom de DVA, qui signifie Détecteur de Victime d’Avalanche, mais on les appelle aussi ARVA, qui lui veut dire Appareil de Recherche de Victime d’Avalanche. Ces 2 acronymes désignent une partie de l’équipement indispensable, dès lors que l’on s’aventure en montagne en dehors des itinéraires balisés. Parmi les fabricants qui développent des DVA, figure la marque Mammut dont les modèles Barryvox et Barryvox S sont plébiscités par tous ceux qui pratiquent le freeride, le ski de randonnée ou le splitboard. Non seulement d’une grande fiabilité, ils sont aussi très simples d’utilisation, permettant de réagir très rapidement dès qu’une avalanche survient.

La marque Mammut en quelques mots

Créée en Suisse en 1862, Mammut est un acteur incontournable dans le milieu de la haute montagne. Si à l’origine, la marque ne concevait que des cordes, on peut dire qu’elle en a mis depuis un très grand nombre à son arc. Certes, elle fabrique aujourd’hui encore des cordes pour les alpinistes et les grimpeurs, mais elle élabore aussi tous les équipements nécessaires à la pratique du ski de rando, du trail running, du trek, de la randonnée, … C’est en 2006 que le premier DVA Mammut voit le jour. L’appareil rencontre un succès immédiat, un grand nombre de professionnels de la montagne étant convaincus de la nécessité de s’équiper sans attendre.

Le DVA Mammut Barryvox

DVA Mammut BarryvoxLe Détecteur de Victime d’Avalanche Barryvox est constitué d’un boîtier dont la structure a été pensée pour résister aux chocs. Il se distingue par une utilisation intuitive et par une bande de recherche numérique d’une largeur maximale de 70 mètres. Pouvant être tenu d’une seule main, il se manipule très aisément, chacun des boutons pouvant être actionnés sans avoir besoin de retirer ses gants de ski ou ses moufles. L’écran rétro-éclairé reste parfaitement visible, y compris lorsque l’intensité de la lumière du soleil est importante. Il facilite la lecture des indications, simplifiant d’autant plus la recherche que l’interface visuelle est associée à des signaux sonores qui indiquent par leur fréquence que l’on se rapproche de la personne ensevelie sous la neige.

Spécificités techniques du DVA Barryvox

guidage visuel écran BarryvoxLe Barryvox présente de multiples fonctions comme l’Auto-check. Ce test automatique s’assure du bon fonctionnement dès la mise en route de l’appareil. La fonction Send correspond au mode émission. La fonction Test de groupe permet au responsable de s’assurer que le DVA de chaque participant fonctionne correctement. La fonction Multi-Victimes permet de concentrer les recherches sur une personne à la fois, en filtrant les différents signaux. Dès qu’une personne est retrouvée, la fonction Marquage des victimes permet de fixer sa position. Ainsi pendant que les autres sauveteurs sont à l’oeuvre pour l’extirper de l’avalanche, le Barryvox permet déjà de rechercher la victime suivante.

Autre fonction, qui n’est pas des moindres, c’est l’Auto Revert. Elle permet de commuter automatiquement en mode émission si le DVA ne perçoit pas de mouvement pendant 4 minutes. Il s’agit d’une protection supplémentaire, très utile si on oublie tout bonnement de repasser en mode émission, mais aussi en cas de suravalanche.

Le DVA Barryvox S

Appareil de Recherche de Victime d’Avalanche Mammut Barryvox SLe Barryvox S, lui aussi fabriqué de manière à être solide en cas de chocs est le DVA Mammut le plus haut de gamme. La marque a mis toute son énergie à faire en sorte qu’il soit d’une grande simplicité d’utilisation. Réputé extrêmement fiable, il est équipé de 3 antennes qui favorisent l’émission du signal dans toutes les directions, afin d’être le plus efficace possible quelle que soit la position dans laquelle la victime est enfouie sous la neige. Le Mammut Barryvox S affiche une largeur de bande de recherche de 70 mètres en mode numérique et de 100 mètres en mode analogique. Lui aussi maniable avec des gants ou avec des moufles, il permet un guidage à la fois visuel et sonore.

Spécificités techniques du DVA Barryvox S

interface visuelle Barryvox SLe Barryvox S profite des mêmes fonctionnalités que le Barryvox. En outre, il se veut plus efficace dans sa capacité à gérer les interférences avec notamment son système d’auto guidance en cas de perte de signal. Il se distingue du Barryvox avec la fonction Smart Search qui permet au DVA de s’adapter aux actions du sauveteur, de faciliter la recherche et de la rendre plus fiable. Il est muni d’une fonction qui vous alerte si vous vous dirigez dans la direction opposée. Autre particularité du Barryvox S, c’est sa fonction Rescue Send qui enclenche automatiquement un retour au mode émission dans le cas d’une seconde avalanche dans laquelle vous seriez pris au piège à votre tour.

Le DVA Barryvox S fait également la différence lorsqu’au sein d’une même avalanche vous cherchez à localiser plusieurs victimes. En plus d’afficher la position de chacune d’elles, le S bénéficie de la technologie Vital Data qui fournit des données sur l’état de chaque personne ensevelie. Alors que le temps est un facteur déterminant et que parfois tout se joue dans un contre la montre, un capteur 3D permet aux sauveteurs de concentrer leurs recherches sur les victimes ayant la plus grande chance de survie.

Quel est le meilleur DVA ? Comment choisir son ARVA ?

Si vous vous posez la question : quel est le meilleur DVA ?, alors bienvenue dans cet article qui tente d’y répondre. Les plus performants à l’heure actuelle sont les modèles développés par les marques BCA, Pieps, ARVA, Mammut et Ortovox. Elles ont toutes en commun la volonté de concevoir des DVA d’une très grande simplicité d’utilisation. Il s’agit d’un facteur clé, sachant qu’une avalanche provoque une situation de stress extraordinairement intense. Guidage sonore, guidage vocal, affichage écran, la clarté des informations est déterminante. Les fabricants rivalisent ainsi d’ingéniosité pour que les chances de retrouver une personne ensevelie sous une avalanche augmentent toujours plus.

Egalement connu sous le nom d’ARVA, acronyme pour Appareil de Recherche de Victime d’Avalanche, le DVA, qui lui désigne un Détecteur de Victime d’Avalanche, est indispensable en montagne, dès lors qu’on quitte le domaine skiable et ses pistes damées. Développés pour la sécurité de ceux qui pratiquent le freeride, le freestyle backcountry, le ski de rando, le ski alpinisme ou le splitboard, ces appareils figurent à la première place des équipements nécessaires, au même titre que la pelle à neige, la sonde et éventuellement le sac airbag, lui aussi fortement recommandé.

Détecteurs de Victime d’Avalanche BCA

Depuis 1994, la marque BCA, pour Backcountry Access, s’est fixée l’objectif de préserver des vies grâce à des produits fiables et très faciles d’utilisation. Jusqu’ici, ses DVA les meilleurs étaient les modèles Tracker S et Tracker3+. S’ils ont encore de beaux jours devant eux, ils voient leur gamme s’enrichir d’un tout nouvel appareil, le Tracker4 dont le fonctionnement est tout aussi exceptionnel.

Le DVA Tracker4 de BCA

DVA BCA Tracker4Equipé de 3 antennes, le Tracker4 présente une largeur de bande de recherche jusqu’à 50 m, avec une portée maximale de 55 m. Il est constitué d’un boîtier caoutchouté avec un écran LED sur lequel s’affiche les informations de directions, lisibles quelles que soient les conditions.

Le détecteur BCA Tracker4 bénéficie de la fonction marquage multi victimes, très utile dans le cas où plusieurs sont prisonnières de la même avalanche. A mesure que les recherches avancent, le Tracker4 permet de réduire le signal émis par le DVA d’une victime, une fois celle-ci localisée. Ainsi, pendant que vos coéquipiers la dégagent, l’appareil se concentre sur le signal plus faible du DVA de la victime suivante.

Le BCA Tracker4 dispose également de la fonction Auto Revert qui le fait basculer du mode recherche au mode transmission au bout de 5 minutes. L’avantage, c’est de ne jamais rester en mode recherche si jamais vous oubliez de le remettre en mode émission. Une autre fonction, elle aussi automatique, permet à l’appareil d’émettre à nouveau si aucun mouvement n’est détecté pendant 1 minute. Il s’agit d’une mesure de protection si vous-même êtes enseveli(e) en cas de suravalanche.

Détecteurs de Victime d’Avalanche Pieps

Originaire d’Autriche, la société Pieps a vu le jour à la fin des années 1960. Son département R&D travaille depuis les débuts à la conception de produits pour la sécurité en montagne. Ses premiers appareils sont commercialisés en 1972 et ne cessent de se perfectionner depuis. Actuellement, les modèles destinés à tous les pratiquants sont le DSP Sport et le Powder BT, mais le meilleur DVA Pieps est vraisemblablement le Pro BT.

Le DVA Pro BT de la marque Pieps

détecteur de victime d'avalanche Pieps Pro BTAvec ses 3 antennes, le Pieps Pro BT affiche une bande de recherche étendue jusqu’à 60 m, ainsi qu’une portée maximale elle aussi de 60 m. L’écran LCD rétro-éclairé permet de lire les indications en toutes circonstances. La recherche de la victime ensevelie sous l’avalanche s’effectue grâce à un système de guidage sonore. Le curseur latéral, facilement manipulable avec des gants de ski ou des moufles, permet de passer d’un mode à l’autre : Off/Send/Search. Celui-ci est bien entendu verrouillable.

Le DVA Pro BT présente la fonction auto-check. Bien qu’il s’agisse d’un examen très rapide à l’allumage, cette vérification systématique permet de s’assurer que l’appareil est bel et bien opérationnel. Le Pro BT bénéficie aussi des fonctions contrôle de groupe, retour automatique en émission en cas de suravalanche, protection contre les interférences, etc. Il profite même d’un mode analogique qui peut être utilisé pour des stratégies de recherche spécifiques.

ARVA Evo5Détecteurs de Victime d’Avalanche ARVA

Depuis plus d’une trentaine d’années, la marque ARVA dispose d’un large choix et fait figure de référence dans le domaine des équipements de sécurité montagne. Ses DVA sont parmi les plus appréciés, d’une part pour leur fiabilité, mais également pour leur facilité d’utilisation. Chez ARVA, on trouve les modèles Axio, Neo, Evo4 et Evo5, ainsi que le Neo Pro, le plus abouti de tous.

Le DVA Neo Pro de chez ARVA

ARVA Neo ProLui aussi équipé de 3 antennes, le Neo Pro fonctionne en mode numérique ou analogique. En numérique, sa bande de recherche s’étend jusqu’à 70 m, tandis qu’en analogique elle s’étend jusqu’à 80 m. Comme son prédécesseur, l’Evo 5, il est très intuitif avec un écran rétro-éclairé qui reste parfaitement lisible même en plein soleil. Il présente les fonctions Group Check, Auto-Test, U-Turn Alarm, retour automatique en mode émission en cas de suravalanche, gestion des interférences, etc.

Le détecteur ARVA Neo Pro dispose d’un mode Standby qui permet de le mettre en pause pour ne pas interférer avec la recherche en cours. Il bénéficie d’une fonction Scrolling qui s’apparente à une fonction multi victimes. Elle est essentielle si plusieurs personnes sont prises sous la même avalanche, puisqu’elle permet de cibler chaque victime afin d’organiser les recherches entre les différents secouristes.

Détecteurs de Victime d’Avalanche Mammut

Spécialisée dans la fabrication de cordes dès ses débuts en 1862, Mammut est aujourd’hui la marque suisse la plus emblématique de l’industrie outdoor. Si elle conçoit et fabrique toujours des cordes pour l’escalade et l’alpinisme, elle développe aussi des produits pour toutes les autres activités montagne que sont le ski de randonnée, le freeride, la via ferrata, le trail, le trek, la rando, … C’est en 2006 que Mammut sort son premier DVA, immédiatement adopté par un grand nombre de secouristes en montagne. Aujourd’hui encore, les DVA Mammut Barryvox et Barryvox S sont des références.

Le DVA Mammut Barryvox S

DVA Mammut Barryvox SRapide, précis, intuitif, le Barryvox S est l’un des meilleurs DVA au monde. Sa première qualité est son incroyable simplicité d’utilisation. Equipé lui aussi de 3 antennes, il a une largeur de bande de recherche de 70 m en mode numérique et de 100 m en analogique. Maniable même avec des gants ou des moufles, il permet un guidage sonore et visuel.

Comme le DVA Tracker4 de BCA, il profite de la fonction Auto Revert avec retour automatique en mode émission s’il ne détecte aucun mouvement pendant 4 minutes. Ses autres fonctions auto-contrôle, test de groupe, gestion des interférences avec auto guidance en cas de perte de signal, ou encore Rescue Send qui commute automatiquement en mode émission si une seconde avalanche vous ensevelit.

Dans la situation où plusieurs personnes se retrouveraient prises au piège, le DVA Barryvox S permet de localiser chacune d’entre elles et d’afficher leur position grâce au marquage multi victimes. Doté de la technologie Vital Data, il permet également de concentrer les recherches sur les victimes ayant la plus grande chance de survie.

Détecteurs de Victime d’Avalanche Ortovox

Créée en 1980, la société Ortovox s’impose sur le marché du DVA en mettant au point le premier appareil capable d’émettre et de recevoir sur 2 fréquences différentes. Compatible avec les DVA des autres fabricants, il est accueilli avec enthousiasme et fait d’Ortovox un acteur incontournable de la sécurité en montagne. Pionnière en matière d’innovation, la marque n’a depuis eu de cesse d’améliorer ses ARVA. C’est ainsi qu’elle a mis au point les modèles Zoom+ et Ortovox 3+, qui jusqu’ici étaient ses meilleurs DVA. Mais Ortovox ne s’arrête pas là et crée la surprise avec une nouveauté jusqu’ici inédite : le guidage vocal de son tout nouvel ARVA, le Diract Voice.

Le premier DVA à navigation vocale Ortovox Diract Voice

détecteur de victime d'avalanche Ortovox Diract VoiceTrès intuitif et tout aussi simple à utiliser que ses prédécesseurs, le Diract Voice d’Ortovox est actuellement le seul DVA au monde qui, à la manière d’un GPS, communique avec vous grâce à un système de guidage vocal. Lors du sauvetage de victimes d’avalanches, la vitesse est primordiale. Ceux qui ont échappé à l’avalanche, témoins impuissants de l’ensevelissement d’une ou de plusieurs personnes, sont en état de choc et stressés par ce qui vient de se dérouler sous leurs yeux. L’avalanche a créé un terrain accidenté qui s’ajoute au défi de devoir retrouver la ou les victimes. Si jusqu’à présent, il fallait se fier aux bips sonores et aux indications visuels affichées sur les écrans de la majorité des DVA, avec le Diract Voice, Ortovox change la donne grâce à des instructions vocales claires et distinctes. Il s’agit d’une avancée considérable qui devrait accélérer considérablement les recherches.

Comme les autres modèles cités avant lui, le Diract Voice possède 3 antennes pour une bande de recherche de 50 m de large. En cas d’ensevelissement, la technologie Smart Antenne analyse la position dans laquelle vous êtes sous l’avalanche afin d’optimiser l’émission de votre signal. Ortovox précise que cela permet de doubler la portée dans certains cas.

Le Diract Voice présente aussi l’avantage d’avoir une batterie conçue pour résister aux basses températures contrairement aux autres DVA qui fonctionnent le plus souvent avec des piles. En plus de la navigation vocale, il bénéficie des fonctions auto-test permanent, contrôle de groupe, marquage multi victimes et de la même manière que le Neo Pro de chez ARVA, il dispose d’un mode Standby afin d’éviter les interférences avec la recherche en cours.

Bien qu’il soit assez compact, le DVA Diract Voice bénéficie un écran plutôt large sur lequel les indications et les symboles s’affichent de façon explicite, restant parfaitement visibles même lorsque l’ensoleillement est important. Sur le haut boitier se trouve un interrupteur de couleur orange qui permet de passer extrêmement rapidement du mode émission au mode recherche même avec des gants épais ou des moufles.

Quel matériel choisir pour faire du ski de randonnée ?

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Vous cherchez à vous équiper pour faire du ski de rando mais vous sentez un peu perdu face aux multiples références ? Cet article est fait pour vous, nous allons vous présenter comment choisir votre ski de randonnée, votre chaussure ski rando et vos fixations ski rando !

 

Avec la fermeture des remontées mécaniques en France sur la saison 2020-2021, nombre de skieurs et skieuses ont décidé de s’essayer au ski de randonnée. Seulement, on ne s’improvise pas randonneur du jour au lendemain. Il y a, bien évidemment, un ensemble de précautions à prendre sur le plan de la sécurité (nous insistons vraiment sur ce point, ne partez pas en ski de rando sans vous être préalablement renseigné, formé et équipé sur la sécurité en montagne). D’autre part, le matériel de ski de randonnée est un peu plus complexe que le matériel de ski alpin.

Comment choisir sa chaussure ski randonnée ?

Quand on choisit une chaussure de ski, on regarde généralement trois critères : la pointure, le volume chaussant (la largeur aux métatarses) adapté à sa morphologie, et enfin l’indice de rigidité adapté à son niveau de pratique. Pour une chaussure de ski de rando, les critères de choix sont plus nombreux. En effet, on regarde également l’amplitude de débattement offerte par le système ski/marche de la chaussure, ainsi que le poids global de la chaussure.

 

Il faut alors trouver la chaussure répondant le mieux à ces différents critères, et offrant le meilleur rapport montée/descente en fonction de ce qu’on privilégie. Quand on débute le ski rando, on cherche généralement des chaussures polyvalentes, bien équilibrée entre la légèreté à la montée et le soutien à la descente.

 

Des modèles de référence pour commencer le ski de randonnée, mais qui sont également utilisés par des randonneurs confirmés, sont des chaussures comme la Cosmos pour les hommes et la Celeste pour les femmes chez Scott, MTN Explore en version homme ou femme chez Salomon.

 

Comment choisir son ski rando ?

Pour le choix d’un ski de randonnée, l’argument poids s’invite dans la partie alors qu’il n’est pas vraiment pris en compte en ski alpin. De plus, on regarde aussi la largeur du ski (qui joue bien-sûr également sur le poids), car c’est ce qui permet ou non de profiter de la poudreuse. Comme pour les chaussures, on cherche alors le ski offrant le rapport montée/descente en fonction de ce qu’on privilégie. Voulez-vous avant tout monter rapidement, vous faire plaisir à la descente quitte à être plus lourd à la montée, ou bien choisissez-vous le compromis ?

 

Pour vous faciliter la recherche, les skis de randonnée sont triés en trois groupes sur le site Glisshop.com : rando light, rando polyvalent et freerando. Du plus léger au plus lourd, du plus à l’aise à la montée au plus performant à la descente. Utilisez ces critères pour sélectionner un modèle adapté à ce que vous voulez faire.

 

Bien-sûr, votre niveau de pratique rentre également en compte, car il n’est pas raisonnable de partir en rando avec un ski qu’on ne sera pas capable de maitriser à la descente. Sur Glisshop.com, les skis de rando sont également classés sur deux niveaux de pratique : intermédiaire – confirmé et confirmé – expert.

Comment choisir sa fixation ski rando ?

Sur une fixation alpine, il n’y a qu’un seul mode possible : la descente. Sur une fixation de ski rando, il faut non seulement assurer le maintien à la descente, mais en plus rajouter un mode montée permettant de libérer le talon de la chaussure pour effectuer un mouvement de marche. En randonnée, on regroupe quatre grands types de fixations, qui répondent aux besoins des différentes pratiques de la randonnée.

 

Pour la découverte de la randonnée et/ou pour une pratique équilibrée entre montée et descente, nous vous conseillons plutôt l’usage de fixations dites “low tech hybrides” ou de fixations dites “à plaque”. Les autres types de fixations dites “Low Tech” et “Low Tech compétition” sont des fixations très spécifiques destinées aux adeptes de la montée sèche et de la rando light. Leurs systèmes de déclenchement sont minimalistes voire inexistants, ce qui les rend peu sécuritaires lors des descentes.

 

Les fixations Low Tech hybrides assurent une sécurité maximale à la descente. Il en existe de différentes sortes, mais parmi les modèles les plus connus nous pouvons citer la Dynafit ST Radical, la Diamir Vipec et la Marker Kingpin.

 

Enfin, les fixations ski rando à plaque sont les plus proches des fixations alpines. Ce sont les plus simples d’utilisation, les plus sécurisantes à la descente, mais également les plus lourdes. On peut les utiliser pour débuter, mais on les utilise également beaucoup en freerando avec des modèles comme la Diamir Freeride.

Fixation ski rando à plaque Diamir Freeride Pro
Diamir Freeride Pro

Un pack ski rando harmonisé

Pour terminer, veillez à avoir un pack ski rando cohérent, avec une chaussure, un ski et une fixation dont les programmes correspondent. Par exemple, on ne monte pas une chaussure de rando légère orientée montée, avec un ski de freerando bien large et une paire de fixations à plaque.

Lunettes de soleil de couleur verte

Idéales pour un look frais et tonique cet été, les lunettes de soleil vertes s’accordent très bien avec la plupart de vos tenues tout en offrant une petite touche d’originalité en plus. Avec un modèle de lunettes de soleil verte, vous ne passerez pas inaperçu c’est certains ! C’est une couleur très tendance qui fait évidemment penser à la nature. Elle est également la couleur de la chance alors peut-être qu’avec des lunettes de soleil de couleur verte, la roue tournera à votre avantage.